On se souvient de gracieuses nostalgies
À chevelure de femmes
De ce sévère alcool j’aurai tiré la flamme
Avec de ténébreux voyous
Sous la comète algébrique
Un jour dans Paris, blasé
On se souvient des cités merveilleuses
De mille milliards d’éventails
Aux halles chamarrées d’Asie
D’un jazz patiné d’Harlem
Aux antipodes faméliques on laisse nos amis
Des filles endormies
Au matin nu
Les villes passent et la rue est absente
Il y a toujours un chien témoin de solitude
Et d’un enfant perdu
Des mamas chaloupant sur des musettes
Des polkas guaranis
Des filles endormies
Au matin nu
Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)