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Ceci me noircit le sang
Si écrire me permettait de guérir mes maladresses
Y'a que des plans foireux que je connais de bonnes adresses
Je manque d'adresse, avec les autres, certains croient que les gens ça s'dresse
Si tu caresses ta copine y a un risque que l'on t'agresse
Car on agit totalement con en guise de pendaison, j'invoque les démons de la raison
Et puis quoi encore, j'ai pas le temps d'écouter vos sornettes mornes
Quand est-ce que l'oseille se montre ?
Je grandis j'ai d'jà l'impression d'en être mort
Si j'continue de claquer mes thunes, je vais finir en banqueroute
Nique, dans one Punchline, j'te l'ai d'jà dit tfaçon j'm'en bats les couilles
Le monde me baise, du coup, j'essaie de faire de mêmes mais même ceux qui ont le pouvoir se croient capables de tout faire d'eux même. Je t'aime moi non plus, je cède à la rupture et je récolte ce que je sème
Tu vends pour des milliers, mais t'as aucune utilité car leur humilité est bien loin de se démultiplier
Quand on m'a donné de l'aide, car la galère je la connais
Pas d'argent brut nous on nous paie au net
J'fais genre j'suis friqué mais c'est le personnage du litz qui permet de m'évader
En soit j'me dis qu'un brin de folie on le trouve à Lille en train d'être bradé
J'demande l'idylle il m'reste le temps, j'voudrais limite qu'il m'aide le vent à sécher ce genre de lignes d'encres
J'veux briller comme une pluie d'étoiles à Djerba, pas comme sur celle de mes ancètres germaniques, la guerre anime les terres et les troupes voient la banque qui les manie
Moi je marie les termes, ces parents de mes rimes évasives
Et vas-y qu'j' tape du pied, même plus besoin d'être touché, j'vais vous couler tous les MCees mais là j'rédige un hit
, j'voudrais que chaque ligne de mes couplets dessinent une montagne d'or
Des vallées éblouissantes des océans où de jeunes fleurs s'y lavent le corps
C'est une horreur de penser que les morts nous relient, c'est le désordre jusque dans l'élite, il va falloir que je m'éclipse
Les jeux sont faussés, comme dans une équipe d'hypocrites, les règles sont fortuites et je compte pas les respecter jusqu'à l'infini
Faudrait savoir c'que j'fais l'année d'après, en vrai je flippe quand j'vois c'que l'état dicte, j'préfère m'protéger que d'fuir
J'ai fait un choix entre les filles et la famille, et j'y resterai fidèle toute ma vie
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