Parfois le soir était dur
Les sourires semblaient bien trop loin
Et la Croix accrochée au mur
Pour ne pas oublier la valeur du pain
Rares les fois où tombait l'armure
D'un guerrier au front que l'on ait jamais faim
Et la prière tu en es si sûr
Nous disait le soir, tu feras le bien
Du creux de tes paumes, du fond de tes yeux
Nul besoin d'avoir lu tous les livres
On comprend que ce qui reste de mieux
C'est d'être bon pour bien vivre
Pour bien vivre
C'est d'être bon pour bien vivre
Il y a des hommes épris de fortunes
Qui ne font plus rien, que d'acheter le monde
Et puis toi, tu nous montrais la Lune
Que l'on comprenne au fond, qu'il y en a qu'une
Il y a des hommes au-dessus des tribunes
Qui déclament si fort à faire taire les cœurs
Et puis toi, délaissant le costume
Tu nous as tant appris, dans toute ta pudeur
Du creux de tes paumes, du fond de tes yeux
Nul besoin d'avoir lu tous les livres
On comprend que ce qui reste de mieux
C'est d'être bon pour bien vivre
Pour bien vivre
C'est d'être bon pour bien vivre
Souvent je vois dans l'ombre de mes pas
Un peu de moi, beaucoup de toi
Du creux de tes paumes, du fond de tes yeux
Nul besoin d'avoir lu tous les livres
On comprend que ce qui reste de mieux
C'est d'être bon pour bien vivre
Pour bien vivre
C'est d'être bon pour bien vivre
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