Y s’sont perdus dans brume, la tête dure comme des enclumes
En bénéficiant du brouillard, pour s’amarrer la tête dans l’tort
Égarés depuis des lunes, à sillonner le clair-obscur
Une zone grise estompant les lacunes
Hantée d’vérités qui sortent des murmures
Ne voulant laisser libre écho, de leurs amples tragédies
Ils se plantent des couteaux dans l’dos, malgré leur façade d’érudits
Les apôtres jurent un code d’honneur, mettent un voile blanc sur leurs erreurs
En fermant les rideaux des châssis
À huis clos pour balayer la marde sous l’tapis
Poison IPA d’agrumes, dans leur coupe à chaque soir
Les apôtres lèvent leur voile de brume, pour remplir leurs trous d’mémoire
Les v’là jugeant leurs déshonneurs, les v’là qui s’blastent sur leurs erreurs
Y manquera jamais à boire aux apôtres...
Pour s’faire accroire qu’y sont les uns meilleurs qu’les autres
Et puis après un hiver très long, arriva brusquement l’printemps
Suite à l’apparition, d’une déesse au charme décapant
Les apôtres, pris de folie, s’empoisonnèrent de mutineries
Les apôtres tombèrent les uns les autres
Trahis par leurs tentations pour la déesse... Mais surtout...
Pour sa belle paire de fesses
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