Je pense plus à demain
Je pense plus à demain
Je pense plus à demain
Je pense plus à demain
Je pense plus à demain
Je pense plus à demain
Je pense plus à demain
Je pense plus à demain
Je pense plus à demain, je pense plus à venir
Je rappe comme un guedin, tu rappes comme un 2000
Comment me contenir, et rester régulier
J’ai plus peur de chuter, la musique m’a déjà tué
Petit je voulais du blé, comme dit Oxmo je voulais du lait
M’inscrire dans la durée, j’inscris mon blase dans la buée
Maman m’a dit, faut pas fumer, faut pas frimer, il faut que t’assures
Check les factures, si tu restes il faut que t’assumes
La vie c’est des calculs, des coups de chance, du travail
Éviter les crapules, rendre fier la marmaille
J’ai pas trouver l’astuce, pour sortir du bourbier
J’attends l’appel d’Albius, j’ai pas eu mon courrier
Nique sa mère le Bac +, vos ambitions de moldus
Longtemps qu’on ne dors plus, rêve bizarres et tordus
Des mois que je ne sors, que je ne suis plus dans l’action
Je pense qu’à ma passion, c’est comme si je me torture
Je cherche la fortune, mais elle, n’en fais pas autant
J’avance face aux vents, pour l’instant je ne vois pas d’autres plans
Range ton drapeau blanc, ici personne veut la paix
Un rythme affolant, on ne pense plus à l’après
Et qu’est-ce qu’ils nous apprennent, qu’est-ce qu’ils nous apprennent
Ils résument notre passé, en même pas une aprèm
Tu comprends qu’on s’abstienne, tu comprends qu’on s’en bat
Tant que les bases tiennent, pas de raisons qu’on s’emballe
Je suis dans le game en sandales, des fois je perds le mental
J’arrête tout pour cent balles, chercher un biz plus rentable
Train de vie des plus bancales ouais, on ressent les secousses
J’ai tourné mes deux pouces, jusqu’à ce que je les sente pas
Soit je regarde mes deux shoes, soit je regarde le plafond
Faut que j’arrête la pelouse, faut que j’arrête le gazon
J’ai que ma passion, mes couilles et mon BAFA
Qu’est-ce qu’en penserai papa, qu’est-ce qu’il dirait de ma vie de pacha
Je rap mais je ne parle pas, tu sais c’est un délire
Si j’essaye pas je serai dans le dénis, si ça le fait pas ça serait pénible
Je suis dans la vraie vie, contrat précaire mais je me démerde
L’argent dort, il faut que je le réveille, il y a que ça qui peut me déter
Ouais laisse-moi péper, bloqué dans ma cogite
Réaliser mes rêves, comme si c’était possible
Comme si c’était facile, eh, comme si c’était donné
Je vois les reufs abandonné, schéma classique et basique
La musique c’est magique, c’est surtout compliqué
Tous les dés sont pipés si t’es pas dans la machine
C’est vrai que ça passe vite, si peu de choses ont changés
Au début c’était chanmé, aujourd’hui je vois le danger
Je suis bloqué au plan B, quand les autre se rangent
Pas trouvé ma branche, j’attrape le destin par la manche
Il y aura pas de revanche, c’est le moment pour se taper
Évite les pauses café, le temps perdu sur Booska-p
Ils disaient que j’allais tout plaquer, ils disaient que j’allais tout plaquer
Comment leur en vouloir, moi aussi je le pensais
Ils disaient que j’allais tout plaquer, ils disaient que j’allais tout plaquer
Comment leur en vouloir, moi aussi je le pensais
Ils disaient que j’allais tout plaquer, ils disaient que j’allais tout plaquer
Ils disaient que j’allais tout plaquer, ils disaient que j’allais tout plaquer
Ils disaient que j’allais tout plaquer, ils disaient que j’allais tout plaquer
Mais je reviens deux fois plus fort, j’en ai trop fait pour tout lâcher
C’est fini les morceaux bâclés, où je donne la moitié de tout ce que j’aurais pu
C’est fini les j’aurais dû, j’arrête de me les gratter
Que tous ceux qui me connaissent voient ça comme une promesse
Comme l’a dit Mokless, je laisse parler mon cœur
Si tu veux que tu progresse, n’écoute pas les moqueurs
Imite pas les menteurs, si tu veux t’en sortir
Les vendeurs de rêves qui ne cherchent qu’à t’endormir
C’est maintenant que ça commence, je redémarre la partie
Je t’assure que je vais me refaire, comme si j’étais Marty
Le monde est à moi, comme si j’étais Passi
Je vais monter la voix, arrêter d’être passif
Tant pis si il y a pas de biff, tant pis si il y a pas de meufs
Avant tout c’est un kiff, au moins il y aura pas de bluff
On se revoit dans cinq ans, quand j’aurai tout raté
Je pourrai dire que je l’ai tenté avant de tout lâcher et tout plaquer
Tout plaquer, tout plaquer, tout plaquer, tout plaquer
Tout plaquer, tout plaquer, tout plaquer, tout plaquer
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