Quelque part dans nos crânes se planque une boussole
Qui parfois nous rassure mais qui souvent s'affole
Et la plupart du temps nous laisse a nos tunnels
Où nous nous repaissons de désirs consensuels
Nos joies s'accrochent aux murs se rangent sur étagère
Elles nous sourient sur fond d'écran a la légère
Elles jouent la mélodie du bonheur en pixel
Elles se contentent d'être brève et
Superficiel (eh eh eh)
Superficiel (eh eh)
Superficiel
Aboyant aux sirènes qui cernent nos audaces
Nous rêvons de voler au dessus de terrasses
Mais eu lieu de nous laisser pousser des ailes
Nous saturons de barbelés le bleu du ciel
Tandis que nous bradons nos secrets sur le net
Tandis que des nuages envahissent nos têtes
Nous contemplons des visions tri-dimensionnelle
Comme si rien ne changeait comme si tout ça était
Superficiel (eh eh eh)
Superficiel (eh eh)
Superficiel
Et quand a bout de nerf nous cassons des vitrines
Descendons dans les rues immoler des berline
On pourrait se croire a l'aube d'une aire nouvelle
C'est seulement un hold-up pour remplir les poubelles
Je marche dans les vapeurs d'oxyde de carbone
Et la vie poursuit son flux dans les smartphones
Le mien vibre contre mon cœur et me rappelle
Qu'au simple son de ta voix mes pensées redeviennent
Superficiel (eh eh eh)
Superficiel (eh eh)
Superficiel
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