Aspiré puis divisé d'un côté comme de l'autre
Lie ce qui nous plaît, ce qui luit chez l'autre
Il y a le faux et ses reflets calmes et solides
Il y a le vrai le plus fourbe, le plus acide
Tous ces carrefours enlisés, ces divinités sordides
Ta peau cristallisée dans l'infini de vivre
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