Dans cette ville toute pleine
De plaisir, de joie et d’amour,
Dans cette ville souveraine
Je ne ferai qu’un court séjour !
J’y resterai trois mois peut-être !
Or, trois mois, c’est bien peu, je crois,
Surtout quand on veut tout connaître !
Aussi, je veux, dans ces trois mois,
Je veux m’en fourrer jusque-là,
Portez la lettre à Métella,
Je veux m’en fourrer jusque-là !
Mon père, un gentilhomme austère,
Tint ma jeunesse avec rigueur.
Il ne comprenait rien, mon père,
Aux exigences de mon cœur !
J’ai dû garder ma robe blanche
Jusqu’à mon mariage, mais
Je prétends prendre ma revanche ;
C’est le moment, ou bien jamais !
Je veux m’en fourrer jusque-là !…
Portez la lettre à Métella,
Je veux m’en fourrer jusque-la !…
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