Malade moi ? Non, faut mettre à jour les codes.
J’ai fermenté ma pomme d’Adam pour en faire de l’alcool.
C’est drôle, je suis personne, quelqu’un et tout le monde à la fois.
Est-ce que c’est bien ma foi, je sais pas, parfois, la foi a mal au foie, viens chez moi !
Les barrières sont là, parce qu’on les a mises, c’est le piège. T’as vu l’argent connard et t’as suivi la mise, joli manège.
Le cul bordé de rouille, mange des nouilles au petit dej’. Vas-y fouille ma chambre, menotté pour trafic de rêves !
J’ai bu, je pue la tise, je freine pas et tombe en panne.
Aussi perdu qu’un double cheese dans un repas vegan.
Toujours le même grand calme qui attend la tempête qui suivra ses 25 ans. Je veux bien être à 12 grammes si je suis bourré de talent !
Je sais pas comment te dire comment faire pour avancer le temps.
Comment te taire, et commenter tes commentaires dans mon questionnement. Qu’est-ce que tu veux grand, pas la même vie, ville, pays, voir même continent. J’ai envie de dire qu’on est pareil, mais tous différents !
Et, me formate pas avec tes leçons.
Lui on lui avait pas dit, du coup il l’a fait sans se poser de questions. Dose de son, cerveau en mode avion, nouveau nourrisson.
Pochon magique, l’ambition dans le chaudron : Panoramix !
Vision panoramique, mission acrobatique, (absence de logique).
« Longue vie aux fous » remplace « vive la république » !
Gilet par schlag, on se met à l’écart.
Avec Laster, Je vais le faire à l’ancienne, j’aime bien être en retard !
« Longue vie aux fous La norme est une MST
Je regrette rien du tout J’suis pas encore marié. Longue vie aux fous ouais, longue vie aux fous...
L’âge devrait se compter pas en années mais en souvenirs.
On perd la vie si on vit, sinon on dit mourir. Soupire !
Nous on se marre, on se barre, on s’en fout, on se fait plaisir.
On donne tout, comme une course que t’arrêtes pas avant de vomir !
Tu l’entends dans ma voix, dans cette tête on est plein.
Tombe amoureuse de moi tu vas pas t’en mordre les doigts mais toutes les mains ! Petit dealer de sons, des pochons de punchlines au fond du cartable.
Dans mon labo y a des cristaux de métaphores à la breaking Bad !
C’est ces condés condescendants qu’ont consommé toutes ces condoléances. Si c’est nous les cons, qu’on me ramène la loi et un bidon d’essence.
Comme le CBD on vise la faille du système.
Si t’aime, arrose moi d’amour comme un camion citerne !
J’enchaîne la haine et le racisme avec des chaînes de mots.
Notes que depuis que le rap est là, la plus belle chanson française est noire de peau. C’est beau alors pourquoi tu parles de lui comme si c’était toi ?
S’il ne t’affecte pas, son choix d’être ce qu’il est c’est d’abord son droit.
Longue vie aux fous. Je regrette rien du tout.
Longue vie aux fous. Longue vie aux fous.
La norme est une MST.
Maniérés sexuellement transmissibles. MST, les traditions contaminent !
« Longue vie aux fous La norme est une MST
Je regrette rien du tout. J’suis pas encore marié. Voilà l’arrivée du trio dans un seul cerveau.
Oh, ponctuation de haut niveau ! »
C’est en équipe qu’on le fait avec l’envie comme addiction !
Au fait, les plus grands mettent des coups de boules dans les traditions. Alors, comme ce jeu où il me manque une carte, il me manque une case. Prends garde ! Si la norme veut te soigner surtout reste bien malade !
Rappeur à mi temps, rêveur à mi temps, chômeur à plein temps. J’te jure, j’ai rayé les vacances mais ça paye pas maman.
J’ai pas de talent non j’suis qu’un acharné !
Je peux pas arrêter, à toute l’équipe j’ai promis la tournée !
« Longue vie aux fous La norme est une MST
Je regrette rien du tout J’suis pas encore marié. Longue vie aux fous ouais, longue vie aux fous...
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