Mon fils, raconte-toi et raconte-nous
Même si ton chemin est parsemé d’échecs et de peines
N'oublie jamais qu'avec ta force et ton cœur
Tu peux passer de la haine à l'amour
L'histoire commence un 14 juillet dans la rue de l'Essonne
Dès que ça frappe à la porte maman par peur frissonne
Tels n'ont pas de faf, ils vivent comme des malfrats
Toi et comme des rois dans les ruelles de Paname
De squat en squat, de tess en tess
Ça sera dans le 7.7. que ma tante nous héberge
Même sous le seuil de pauvreté
D'amour maman m'a toujours comblé
Je serai l'aîné d'une famille de sept, maman
Donc condamné à toujours faire ce qu'il faut
Mais dehors ça cogne, ça brûle
Donc dans la régie, j'ai laissé quelques plumes ah ouais
Je ne crois pas en vous, moi
Je n'ai que ma volonté
Ils aimeraient nous voir plier
Mais Dieu seul peut nous faire tomber
Papa vient demande à la France pour moi il l'a cascadé
Maman m'agrippe à ses aïeux quoi qu'il arrive je vais percer
Ouais c'est Dieu qui donne
Ouais c'est Dieu qui donne
Ouais c'est Dieu qui donne
Ouais c'est Dieu qui donne
Dis-leur que ouais j'ai la baraka
Pas le temps d'envier,qu'il laisse les blabla
Dis-leur que ouais j'ai la baraka
Pas le temps d'envier, qu'ils laissent les blabla
Ouais c'est Dieu qui donne
Ouais c'est Dieu qui donne
Ouais c'est Dieu qui donne
Ouais c'est Dieu qui donne
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