Bien, à qui le tour ? M. Anderson
Je vous vois quasiment à l'agonie
Debout, tot, hop, allez, abrégeons votre tourment
Tenter de se souvenir, plonger au plus profond de soi
En pleine insomnie arrive une avalanche de souvenir
Je vois des fantômes surgir entre dimanche et lundi
Demain je cogiterai sur ce que j'ai pas pu accomplir
Ou même dire, tu te remémore puis tu regrettes
Maintenant que tu peux y réfléchir, tu te dis que t'étais bête
Même si perso, je sais que j'aurai rien pu changer
Où est-ce que j'aurai trouvé le courage de dire à mon père qu'au fond je l'aimais ?
Avec lui-même, sa propre tête, il devait être perdu
À me faire jusque à tard la morale au point de la perdre
Je l'ai pas écouté, ça reste qu'une perte
Ces belles années avec lui pourtant sont gravées dans ma tête
Maintenant que j'suis assez loin
Allons chercher dans les coins où je me sentais protégé
L'époque où mes deux parents pouvaient encore se parler
Sans remettre en cause leur foutue fierté
Et qu'est-ce qu'on est nombreux
Peut-on nous reprocher d'espérer un jour être heureux
Quand un rêve apparaît entre nous et le ciel bleu
On veut tous sauter de cette fenêtre jusqu'où l'ont peut
Des textes à finir, des histoires à achever
Mauvais temps, mauvais temps dans ma tête
Vivre est bien plus dur lorsque tout est sec
J'ai l'habitude de me contenter d'un échec
Des textes à finir, des histoires à achever
Mauvais temps, mauvais temps dans ma tête
Vivre est bien plus dur lorsque tout est sec
J'ai l'habitude de me contenter d'un échec
C'est ça, libérez vote esprit et essayez de l'imaginer
Dites ce qui vous passe par la tête, allez, même si c'est une absurdité
En tête à tête avec un mur des plus blancs
Dessus j'écris des rimes juste pour rythmer le temps
Tirer sur un éclat de nuages, carresser le vide d'une émotion
Car c'est le vie d'artiste que d'être focalisé sur une simple sensation
Et je parcours une terre mille fois explorée
Savoure l'ennuiement d'une fin de soirée
Miroite la vie à travers une impression de déjà vu
Des idées sans arrêt figées avec le même contenu
J'effleure ma peau tel un mirage
Comme si j'existais qu'en tant que mirage
C'est un quotidien de ne pas se fier aux lignes
Textes traversant mes maux en traversant la marge
Mes rêves se consume dans mes chaussettes
Mon moral, lui aussi, les guette
Sans même m'écouter, on répère mes problèmes
Sur mon visage, tu lis l'intégralité de mes peines
Et qu'est-ce qu'on est nombreux
Peut-on nous reprocher d'espérer un jour être heureux
Quand un rêve apparaît entre nous et le ciel bleu
On veut tous sauter de cette fenêtre jusqu'où l'ont peut
Des textes à finir, des histoires à achever
Mauvais temps, mauvais temps dans ma tête
Vivre est bien plus dur lorsque tout est sec
J'ai l'habitude de me contenter d'un échec
Des textes à finir, des histoires à achever
Mauvais temps, mauvais temps dans ma tête
Vivre est bien plus dur lorsque tout est sec
J'ai l'habitude de me contenter d'un échec
Des textes à finir, des histoires à achever
Mauvais temps, mauvais temps dans ma tête
Vivre est bien plus dur lorsque tout est sec
J'ai l'habitude de me contenter d'un échec
Des textes à finir, des histoires à achever
Mauvais temps, mauvais temps dans ma tête
Vivre est bien plus dur lorsque tout est sec
J'ai l'habitude de me contenter d'un échec
Bravo, n'oubliez jamais ça
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