Émouvant je voulais toucher ton cœur,
Mais t’es touché que par ton petit chat
Il y aura pas de thèmes, non n’ai pas peur,
Il y a que ma voix, une trompette qui chiale, un chat
Et que je vise à la bonne, j’aurais qu’une piste de l’album
Si les larmes glissent fils c’est que c’est Green à la prod
Je m’entête avec la tease, me demande pas si je mène la belle vie
Ici dans les gouttes je m’épuise comme les triplettes de Belleville
Ma belle-fille sera toujours belle, tu perds la femme, tu perds les gosses
C’est corsé comme un corset de grosse, gros donc toujours je peine
On a scellé mon cœur, c’est plus qu’une boite qui me sert à vivre
Quand je bois parfois je le ravive, quand je me déboite je me sers à vide
Certains seraient ravi de l’apprendre, toi prends mon troisième doigt
Vétuste comme le bâtiment que j’arpente, j’apprends à casser le toit
On s’entend pas, je pars a la seine, je rentre en phase,
Je monte sur scène et je ressent le bac, car la France saigne sans Tampax
De plus en plus de tendances sales, de vestes salies
De malines, de suçage de bite, de traitresses, de salive
J’écris pour moi, pour cher-la le doute, toi t’es chez la douce
Moi je pense qu’a me barrer puisqu’elle nous cher-la toutes
J’écris ce texte dans une tempête de lave,
J’en pète de larmes, la vie me blesse, je rappe ma tristesse en trompette de larme
Ma belle-fille sera toujours belle, j’écris pour moi, pour cher-la le doute
J’en pète de larmes, la vie me blesse, je rappe ma tristesse en trompette de larme
Le trompettiste joue, il fait couler des larmes,
Elles naviguent sous les joues, en scred comme la sève dans l’arbre
Puis la scène devient flou, floutée par le bar
Quitte à parler des fous, autant écouter par le bas
Le trompettiste joue, il fait couler des larmes,
Elles naviguent sous les joues, en scred comme la sève dans l’arbre
Puis la scène devient flou, floutée par le bar
Quitte à parler des fous, autant écouter par le bas
Je refais le topo pour les faibles, parfois c’est trop beau, trop beau, trop beau pour être vrai
Je refais le topo pour les faibles, parfois c’est trop beau, trop beau, trop beau pour être vrai
J’ai pris une tartine dans la gueule, là j’en ai deux dans le bide
Si tu veux faire partie du club, passe à l’accueil apprends les nœuds dans le vide
Je dors toute la journée, je fais des rêves de bâtards
La nuit je rappe, le stud m’enjoue et je peux pas pioncer si il est pas tard
Brulantes sont les patates, glaciales sont les pensées que j’ai
Mon Adn, mon mascara, ouais j’idolâtre ce que pensait Jane
Je ramène un doute, mes sens et ??? tire dans la cape
T’écoutes les sons d’un homme qui souffre, qui veut pas sortir de la case
Avis de tempête, ils ont cru quoi que j’étais un tapis d’entrée
Si je rappe la vie que ça t’embête, c’est que t’as trop de vices à combler
Non t’es pas fort, c’est juste ton égo que t’empêche de sortir
T’as plus que la forme, tu touches le fond, dans l’eau la pêche est sordide
J’emmerde vos jugements, vos messes basses,
Pour qu’elles m’atteignent pas je suis dans ma bulle,
Au moins je suis seul dans mon espace
J’écris ce texte dans une tempête de lave,
J’en pète de larmes, la vie me blesse, je rappe ma tristesse en trompette de larme
Le trompettiste joue, il fait couler des larmes,
Elles naviguent sous les joues, en scred comme la sève dans l’arbre
Puis la scène devient flou, floutée par le bar
Quitte à parler des fous, autant écouter par le bas
Le trompettiste joue, il fait couler des larmes,
Elles naviguent sous les joues, en scred comme la sève dans l’arbre
Puis la scène devient flou, floutée par le bar
Quitte à parler des fous, autant écouter par le bas
Je refais le topo pour les faibles, parfois c’est trop beau, trop beau, trop beau pour être vrai
Je refais le topo pour les faibles, parfois c’est trop beau, trop beau, trop beau pour être vrai
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