Même les jours sans lunes
Même au cercle polaire
Même les soirs de brume
Au fin fond de l'hiver
Dans les palais des glaces
Dans les hôtels de passes
Dans les rues de Damas
La nuit n'est jamais noire
Y a toujours une étincelle
Quelqu'un qui te tend une chandelle
À souffrir à vivre la flamme
Même sous les voiles des femmes
Y a toujours au firmament
Le rêve clair d'un enfant
Un geste, un regard, une guitare
La nuit n'est jamais noire
Dans les forêts profondes
Une luciole, un feu follet
Dans les bas fonds des favelas
Un coup de foudre, un coup d'éclat
Alors que tout semble perdu
Lentement vos yeux s'habituent
Devant nous, se dresse un phare
La nuit n'est jamais noire
La nuit n'est jamais noire
Même les jours sans lune
Même les jours sans lune
Même au cercle polaire
Même au cercle polaire
Même les soirs de brume
Même les soirs de brume
Il y a de la lumière
Il y a de la lumière
L'étoile du berger
L'étoile du berger
A deux mètres de l'allée
A deux mètres de l'allée
Un ami qui veille tard
La nuit n'est jamais noire
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