Personne n’éprouve aucune peine.
La nuit quand sous la pluie je traine.
Mais tout l’monde a appris
Que Babe de nouveaux habits,
De longues mèches de sirènes
Et des rubans hors de prix.
Qu’elle cache mais je les ai surpris.
Elle règne, juste comme une femme.
Elle se donne, juste comme une femme.
Elle prie, juste comme une femme.
Elle se brise comme une petite fille.
La reine Marie, elle doit surement savoir.
Demain je retournerai la voir.
Puis chez elle j’attendrai
Que Babe soit sauvée.
Quand elle aura compris qu’elle est comme toute l’humanité.
Avec ses perles, ses amphétamines, et ses insomnies.
Elle règne, juste comme une femme.
Elle se donne, juste comme une femme.
Elle souffre, juste comme une femme.
Elle se brise comme une petite fille.
Il pleuvait depuis un mois,
Je crevais de faim et voilà je l’ai suivie.
Je rêvais d’avoir moins froid,
Elle savait qu’elle n’aurait pour moi qu’une nuit.
Elle n’a rien dit, elle m’a trahi et même si aujourd’hui
Ni elle ni moi on ne regrette.
Voilà c’est comme ça, tout s’arrête.
Et si un jour par hasard
On doit se revoir
Elle oubliera, j’espère, celui qu’j’étais ce fameux soir
Où j’avais faim et où on était dans son monde.
Elle règne, juste comme une femme.
Elle se donne, comme se donne une femme.
Et elle prie, juste comme une femme.
Elle se brise comme une petite fille.
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