Il paraît que tu étais belle, que tu chantais sans trembler
Un peu sauvage, un peu rebelle, tu as élevé ma mère sans tomber
Tu as pourtant connu lʼenfer et la peur de manquer
Adolescence sur fond de guerre, enfance au goût de tranchées
Tu as bravé toutes les tempêtes, connu toutes les couleurs du ciel
Aujourdʼhui tu regrettes mais tu ne sais plus comment tu tʼappelles
Pourtant tes mains se souviennent de chaque moment passé
Des larmes de joie ou de peine dʼun revers effacées
Oui tes mains se souviennent de mʼavoir tellement apporté
Dommage que chaque week-end tu me dises
« Monsieur enchantée »
Il paraît que tu étais fi ère, toujours bien habillée
Que tu as fait tourner la tête du jeune homme le plus convoité
Ensemble dans les bals, applaudi, respecté
Je nʼai pas connu mon grand-père, tu as su me le raconter
Tu as bravé toutes les tempêtes, connu toutes les couleurs du ciel
Aujourdʼhui tu regrettes mais tu ne sais plus comment tu tʼappelles
Pourtant tes mains se souviennent de chaque moment passé
Des larmes de joie ou de peine dʼun revers effacées
Oui tes mains se souviennent de mʼavoir tellement apporté
Dommage que chaque week-end tu me dises
« Monsieur enchantée »
Parfois sans prévenir les souvenirs reviennent enfi n
Juste le temps dʼun soupir, tu fredonnes un vieux refrain
Tu as bravé toutes les tempêtes, connu toutes les couleurs du ciel
Aujourdʼhui tu regrettes mais tu nʼsais plus comment tu tʼappelles
Pourtant tes mains se souviennent de chaque moment passé
Des larmes de joie ou de peine dʼun revers effacées
Oui tes mains se souviennent de mʼavoir tellement apporté
Dommage que chaque week-end tu me dises
« Monsieur enchantée »
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