Sur un banc j'écoute la marée
de mes aïeux et des souvenirs laissés
naviguant sur le flôt des années
vers un ailleurs qui pourrait me ressembler
je cours
la vie comme je sens
m'ouvrir au monde
admirer son empire
j'entends
la force des gens
Si l'on savait
s'ouvrir à d'autres mondes
Si je pouvais
écrire chaque seconde
se réveiller, dimentionner
un monde qui nous ressemble
lever, les mains, crier
Ce que nous sommes.
j'écoutais l'histoire de l'homme mué
de ces grands geste avec son air un peu fier
l'ordre des mots n'est pas dans la parole
son coeur est chaud et son histoire n'est pas folle
quand il pense on revient en enfance
comme le silence fait résistance
Il prend
la vie comme il sent
s'ouvrir au monde
admirer son empire
Il entend la force des gens
Si on savait
s'ouvrir à d'autres mondes
si je pouvais
écrire chaque seconde
se réveiller, dimentionner
un monde qui nous ressemble
lever les mains, crier
ce que nous sommes
je prends
la vie comme je sens
m'ouvrir au monde
admirer son empire
j'entends
la force des gens
Si on savait
s'ouvrir à d'autres mondes
si je pouvais
écrire chaques secondes
si on savait
laisser la place
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