Avalanche, parce que certains ont trop parlés, qu’ils ont ouvert leur bouche pour vociférer.
Parce que d’autres pense que la haine aide à s’imposer, que cette haine est une aubaine.
Parce que d’autres ont trahis et qu’aujourd’hui, ils reviennent vers moi après cette gangrène de jalousie.
Alors j’ai mon droit de réponse et croyez moi, il ne s’agit pas d’un requiem que j’enfonce.
Il s’agit juste de tailler les carences, car l’autre joue, je ne la tendrais pas, pas de chance.
Toi qui t’es senti batailleur crois moi, viens par la, et commente ton erreur.
Toi qui reviens maintenant vers moi, car tu sens que le vent souffle sur ton toit, reste bien derrière, sans faire de bruit, je ne te donnerais pas un bout de mon paradis.
Je prone la paix, et meme si je dois pardonner, de tes paroles, de tes gestes, je ne vais rien oublier.
T’as squatté sur mon dos, ok, assume, derrière sans fléchir et sans fuir.
Ma porte est définitivement fermé pour les personnes qui ont oublié, que le respect n’était pas un mot que l’on utilisait seulement par attrait.
Je t’ai condamné, de moi tu n’as plus rien à imaginer.
Ce texte n’est pas une revanche, détrompe toi, plutot une mise au point avec ceux pour qui la jalousie met leur cerveau en mode taudis, avec un brin de mélancolie.
Juste une mise au point, juste une avanche.
Juste pour bien montrer que jamais je n’arreterais de dire mes pensées, que forcément, le but sera de toujours rester vrai.
Juste une mise au point, juste une avalanche.
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