Quand minuit sonne elle se souvient,
que ses pas alourdis résonnent,
Quand mentir fonctionne elle se soutient,
mais son visage affaibli lui tonne,
ce jeune aime être à jeun d’amour,
il brûle ses fins en marchant sur le cour,
À coup de canif il débloque l’engine,
le chien aboie il fonce récupérer la fille fragile
passe par Constantine, évite la mer il cherche l’argile,
instinct primitif amer sa rétine reçoit,
par jet la chaleur du four ouvert
Une voiture trace en désert d’Arabie
Le chrome connecte le sable de brume,
un dérapage un nuage de sèche écume,
L’or et l’argent apparaissent en un bruit
Raoul roule sur la banquette arrière un Pitbull (x4)
Abandonné, à l’appli cantonnée à l’Afrique inconnu,
Sous l’nez, la cocaïne des jnouney, éveillée des fins de journées,
J’roule mais j’me sens distrait envolé par la fille aux seins nues,
Amadoué Almeria all day Mamadou a papillonné hey
Coup d'tête balayette coup de tel
Esprit d’être à la fête arpenté le Cristal a coulé sillonné et serpenté,
la cagoule a marquée le muscle Oréal de la foule sculptée
par tard dessine et volupté j’me marre
un far à paupière sur le rocher
Une voiture trace en désert d’Arabie
le chrome connecte le sable de brume
Un dérapage un nuage de sèche écume
L’or et l’argent apparaissent en embrume
Abdoul roule sur la banquette arrière un Pitbull (x4)
Un pitbull une voiture
Un pitbull des voitures
Un pitbull une voiture
Un pitbull des voitures
Un pitbull une voiture
Un pitbull des voitures
Un pitbull une voiture
Un pitbull des voitures
Raoul et Abdoul roule
Sur la banquette arrière un Pitbull
Raoul et Abdoul roule
Sur la banquette arrière un Pitbull
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