Et puis la recherche continue pendant qu's'écoule le sable
Et puis je trouverai mon reflet, au fond d'un autre regard
Ou bien mes failles au fond d'un verre, au fond d'un autre bar
Qui aurait l'amertume des fins, des pleurs de quais de gare
Tu sais mon cœur, ça fait des mois, que c'est la pénombre, ici
On disait se soutenir à la mort, et là c'est bon, j'y pensais
Je pensais à tout ce qui nous liait, je pensais au reste aussi
J'ai vu nos souvenirs à la morgue comme un con, j'ai dansé
"Mec, tu rappes comme un fou", voilà ce qu'ils me disent tous
Et puis ils crient tous comme si j'étais sourd
Mais là je suis juste saoul
Oui, là je suis juste saoul et un brin hypocrite
Parce-que j'crie que j'ai l'âme collée aux christ, mais pourtant j'aime que les mots crissent
L'impression qu'après tout, je penserai toujours à l'après
On donne la vie pendant la nuit, on peut la perdre pendant l'aprèm'
Est-ce que plus on pèse, plus on s'éloigne de la sagesse ?
Est-ce que je ferai encore du son quand j'aurai trouvé la paix ?
Mais j'ai pas changé dans les yeux de ma mère, y a qu'son regard pour me tirer d'affaire
À treize ans, je console pensées suicidaires, j'étais obligé d'allumer la lumière
J'étais obligé de faire autrement, de chanter fort comme pour combler le manque
Confonds pas l'amour et puis l'intérêt
Adieu mon cœur, on se voit dans tes rêves
Moi, j'étais...
À... La recherche du love
À... La recherche de l'autre
À... La recherche de moi-même
À
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