Yeah... Pouuu... Hun... Yeah
Si un jour j'crève, et qu'on m'ouvre le cœur
On pourra y lire en lettre d'or
Même mort je vous baise encore
Même mort je vous baise encore
Si j'crève et qu'on m'ouvre le cœur
Vous pourrez y lire en lettre d'or
Même mort je vous baise encore
Même mort je vous baise encore
Si un jour j'crève, et qu'on m'ouvre le cœur
On pourra y lire en lettre d'or
Même mort je vous baise encore
Même mort je vous baise encore
Si j'crève et qu'on m'ouvre le cœur
Vous pourrez y lire en lettre d'or
Même mort je vous baise encore
Même mort je vous baise encore
C'est pas parce qu'un lossa est silencieux
Qu'ça veut dire qu'il va pas agir
C'est pas parce que les cimetières sont silencieux
Qu'ça veut que tout le monde est au paradis
Je coupe, je cuisine et j'additionne
C'est pas les mêmes délires qu'on ambitionne
Pas les mêmes putes qu'on ramène au ras du sol
Encore une nuit où j'vais pas mir-dor
Car la nuit n'fait que m'porter conseils
Mais les conseils que la nuit m'donne
Le jour me les déconseille
Combien j'paie pour ta shnek, hachek
L'amour, comme les keufs, ça s'achète-chète
Quand on m'demande, j'dis qu'j'vais bien
Regarde ton doigt sur la gâchette-chette
Pas d'arrangement à l'amiable
J'vais tout enculer cette année
Quand on vend son âme au diable
On vient pas la réclamer
J'arrêterai de porter du noir
Quand il y aura une couleur plus sombre
J'ai quelque sous à récup'
J'ai que jusqu'à la fin du monde
Lossa mes pouvoirs s'décuplent
Un feu sacré brûle dans mon corps
Elle viendrait comme elle est pure
J'la liquide en un temps record
J'suis bien plus complexe que ce qu'ils le pensent
Peu importe à quoi ils m'réduisent
J'tape un mafé kacher avec 2, 3 frères muses
On est calés sur le parvis de l'église
Du biz, encore
Du biffe, encore
Des femmes, encore
Problèmes, encore
Des frères, encore
Des traîtres, encore
Dites leur, même mort, j'les baise, encore
Du biz, encore
Du biffe, encore
Des femmes, encore
Problèmes, encore
Des frères, encore
Des traîtres, encore
Dites leur, même mort, j'les baise, encore
Sapes de xe-lu, bolide allemand
Armes sses-ru, mise à l'amende
Plus de buzz tue mauvais garnements
Correspond-il au signalement
Sentimental aux allures de dure
Au corps presque saint, mais à l'âme impure
J'suis pas comme eux
Moi j'vois des fenêtres là où tout l'monde ne voit qu'un mur
Bruit et odeur, nuit et sombreur
Sono à fond dans la voiture
Te fies pas au buzz, il est trompeur
Comme un sourire de femme battue
Bas les couilles de savoir qui t'es
On est pas des tiens tu n'es pas des autres
Bébé, bas les couilles qu'on se soit quittés
J'veux juste pas te voir dans les bras d'un autre
C'est ça nos vies ? C'est ça nos vices
Ouais, c'est comme ça nos vices
Tu pètes des bles-câ sur nous
Demandes toi qu'est-ce qu'il en sera d'nos fils
Crois pas qu'c'est l'fait que tu sois un mal qui fait d'toi un homme
J'te le dis d'office
Ya moins de couilles chez certains raclos
Qu'sous les jupes de celles qui ont un clitoris
Donnes du respect à un trou du cul
Tu sais c'est quoi le comble ?
Au final c'est lui qui te prend pour une merde et c'est toi le con
Eh, sang sur les mains comme un gendarme de Beaumont
C'est toujours l'heure du me-cri à ma tre-mon
Vivre ? À quoi bon, si c'est pas pour ter-mon
Ivre ? À quoi bon, j'ai déjà le démon. Eh
Du biz, encore
Du biffe, encore
Des femmes, encore
Problèmes, encore
Des frères, encore
Des traîtres, encore
Dites leur, même mort, j'les baise, encore
Du biz, encore
Du biffe, encore
Des femmes, encore
Problèmes, encore
Des frères, encore
Des traîtres, encore
Dites leur, même mort, j'les baise, encore
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