Yeah, youleh, youleh
On va tout casser encore une fois
Seventy-one Beats
Yah (nhar Shaitan), youleh, youleh
Nhar Shaitan, c'est la nuit que les démons sortent
Viens chez nous, ça coupe des têtes comme dans Game of Thrones (lourd)
J'compte plus les fils de pute qui me jettent des sorts
Vas-y, essaye encore, j't'écraserai en Merco Compressor
Dans le rap, toujours parеil : nique le flow des autrеs
Ils misent tous sur le paraître, j'ai la dégaine des Hommes
Et le rap, direct, j'arrête, le milli' dans le compte
Y a ceux qui font les comptes et ceux qui règlent des comptes (blah)
Pour les salopes, j'ai l'Tokarêve, j'vais les remettre d'accord (ouais)
Et la concu', j'lui mets la tête au carré ou la corde
Suceurs de bite, on évite, ce que l'on dit, on le vit
Y a ton boule en évidence alors mes chacals le visent
Aller, garde tes distances, au charbon, ça vend 10-30
C'est des clodos qui revendent, ils ont pas la carte résidence
J'suis posé au quartier, les bandeurs me donnent de l'inspi'
Un pétard, un café sur l'quartier et j't'écris un film
Aïe, aïe, aïe, aïe, j'suis posé au quartier, ça sent la descente
Aïe, aïe, aïe, aïe, ça détaille de janvier jusqu'à décembre
Aïe, aïe, aïe, aïe, j'suis posé au quartier, ça sent la descente
Aïe, aïe, aïe, aïe, ça détaille de janvier jusqu'à décembre
Les suceurs ont la gorge encrassée, te plaint pas si tu t'fais écraser
Mets le shit derrière la porte sans l'écraser, même le Shield derrière la porte, j'le dédicace
Et ça fait : "Ouais, ouais, la rue scolarise", et ça fait : "Ouais, ouais, y a la banalisée"
Et ça fait : "Ouais, ouais, ton père, on a visser", et ça fait : "Reh, reh, j'garde le pompe à vie, moi"
Et ça fait : "Ouais, ouais, la rue scolarise", et ça fait : "Ouais, ouais, y a la banalisée"
Et ça fait : "Ouais, ouais, ton père, on a visser", et ça fait : "Reh, reh, j'garde le pompe à vie, moi"
Des coups bas, on esquive, t'es pas fou, tu fais l'vice
T'es mauvais, on t'évite, t'es tombé dans l'estime
Pour l'argent, on est vifs, tu t'en mets dans le piff
Ma daronne voit des lovés, elle croit qu'c'est la kichta des disques
Aïe, aïe, aïe, aïe, j'suis posé au quartier, ça sent la descente
Aïe, aïe, aïe, aïe, ça détaille de janvier jusqu'à décembre
Aïe, aïe, aïe, aïe, j'suis posé au quartier, ça sent la descente
Aïe, aïe, aïe, aïe, ça détaille de janvier jusqu'à décembre
Et ça fait : "La rue scolarise", youleh, youleh, hein
Et ça fait : "Ouais, ouais, la rue scolarise", et ça fait : "Ouais, ouais, y a la banalisée", yah
Et ça fait : "Ouais, ouais, ton père, on a visser", et ça fait : "Reh, reh, j'garde le pompe à vie, moi"
J'compte plus les fils de pute qui m'jettent des sortes, hein
Youleh, youleh
Et ça fait : "Ouais, ouais, la rue scolarise", et ça fait : "Ouais, ouais, y a la banalisée"
Tu croyais qu'on était morts ? On va t'écraser en Merco Compressor
Et ça fait : "Ouais, ouais, ton père, on a visser", et ça fait : "Reh, reh, j'garde le pompe à vie, moi"
Youleh comme d'hab', merci la T, ça fait plaisir
On est là, youleh, youleh, comme d'hab' (hein)
C'est pas fini, c'est que l'début (bah ouais)
Hein, shee
Aïe, aïe, aïe, aïe, ça sent la descente
Aïe, aïe, aïe, aïe, de janvier jusqu'à décembre
Hein, ???, on est là, ma gueule
On fait ça sur une jambe, trop facile
Ramène, ramène, DZ
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