La mort, son larsen fait silence
L'avenir "y'a plus qu'à colorier"
En reflets nacrés, en brillance
L' aisance de vivre à tes côtés
La peine et ses complices s' inclinent
D' ailleurs "faudra bien s ' habituer"
À c ' que mes lames de fond dépriment
De ce crime contre I 'humanité..
Veux—tu m' épouser ?
Veux—tu m' épouser ?
Veux—tu m' aimer ?
Veux—tu m' épouser ?
Pas de feu rouge non rien qui nous stoppe
Et ça durera c' que ça durera
Une musique de Béla Bartók.
Ou des stocks de mélodies du bonheur
"Paraît qu 'Dieu et toute son escorte"
Supportent tous les élans du cœur...
Veux—tu m' épouser ?
Veux—tu m' épouser ?
Veux—tu m' aimer ?
Veux—tu m' épouser ?
La mort, son larsen fait la grève
T' inquiète plus j 'ai tout arrangé
Juliette j 'veux que nos lumières du jour
Soient de mèche jusqu ' au rideau tombé
Voudrais—tu prendre par amour
Mokaiesh à perpétuité ?
Veux—tu m' épouser ?
Veux—tu m' épouser ?
Veux—tu m' aimer ?
Ouais… Ouais…
Veux—tu m' épouser ?
Veux—tu m' épouser ?
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