Les rouages d'une horloge qui craquent et qui cliquent
Des petits boulons, des vis, des bruits mécaniques
Sur l'établi des machines démontées, remontées, déglinguées
Ses boîtes de pizzas vidées, des tasses et taches de cafés
Des taches d'huile, des manuels, des équations dessinées
Des montres à gousset, des coucous suisses déjantés
Je suis une sorte de mauvais Einstein, le Doc Emmet Brown
Je fabrique des trucs foutraques détraqués rien ne fonctionne
J'attends la révélation d'un convecteur temporel
J'attends d’inventer la Machine d'H.G. Wells
Un inventeur fou à la professeur Moriarty
Dans le Cabinet du Docteur Caligari.
C'est un voyage, c'est une guerre, c'est la Steampunk Fantasy,
C'est le futur du passé, c'est un film de Miyazaki
C'est la peur de la page blanche, c'est l'envie de créer,
C'est des brouillons, des idées, des petits bouts de boulons assemblés,
Qui font merveille et technologie, qui font le rêve et la poésie,
Créer toujours pour soi, pour être en vie, c'est ça être artiste, l'ami,
C'est ça, ma Steampunk Fantasy
Je rêve d'être un Jules Verne en Voyage au centre de la Terre
Le rêve suit son cours cher Watson c'est pourtant élémentaire
Rien n'est impossible tout est incroyable
Lunettes d'aviateur au manche de mon dirigeable
Et je fais le Tour du Monde en quatre-vingts jours
Toujours au max façon Mad Max dans des déserts de non retour
Comme le Capitaine Némo génie visionnaire
Visiter le Nautilus à Vingt Mille Lieues sous les mers
J'ai pas la classe de Kirk Douglas
Je suis un marin d'eau douce de dernière classe
Je trouverai bien l'idée le truc jamais inventé
Le vélo à vapeur, le sabre laser, l'overboard ce serait le pied
C'est un voyage, c'est une guerre, c'est la Steampunk Fantasy,
C'est le futur du passé, c'est un film de Miyazaki
C'est la peur de la page blanche, c'est l'envie de créer,
C'est des brouillons, des idées, des petits bouts de boulons assemblés,
Qui font merveille et technologie, qui font le rêve et la poésie,
Créer toujours pour soi, pour être en vie, c'est ça être artiste, l'ami,
C'est ça, ma Steampunk Fantasy
Créer, inventer, insuffler, inspirer
Attiser la flamme d’un feu éteint et s'embraser
Aux créateurs, aux artistes, aux utopistes, aux rêveurs méconnus
Je vous envoie mon estime et cette chanson saugrenue Comme un appel au rêve pour dire "vas-y continue
D'écrire des mots, de jouer des notes, d'assembler tes boulons"
Que le monde ne s'arrête jamais de jouer cette chanson
À la peur du vide, à la peur de l'incompris ou de la censure
Au rideau qui s'ouvre, au trac, à l'émotion pure et dure
À la grandeur des rêveurs, à la sublime de la rime
Même si aucun d'entre nous devient célèbre, et trime, moi je nous estime
C'est un voyage, c'est une guerre, c'est la Steampunk Fantasy,
C'est le futur du passé, c'est un film de Miyazaki
C'est la peur de la page blanche, c'est l'envie de créer,
C'est des brouillons, des idées, des petits bouts de boulons assemblés,
Qui font merveille et technologie, qui font le rêve et la poésie,
Créer toujours pour soi, pour être en vie, c'est ça être artiste, l'ami,
C'est ça, ma Steampunk Fantasy
C'est un voyage, c'est une guerre, c'est la Steampunk Fantasy,
C'est le futur du passé, c'est un film de Miyazaki
C'est la peur de la page blanche, c'est l'envie de créer,
C'est des brouillons, des idées, des petits bouts de boulons assemblés,
Qui font merveille et technologie, qui font le rêve et la poésie,
Créer toujours pour soi, pour être en vie, c'est ça être artiste, l'ami,
C'est ça, ma Steampunk Fantasy
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