Jamais on ne pense ,
A r’lâcher ce fil …
Qui nous lie pourtant,
une évidence …
Jusque là on s’offre,
à cœur et à corps …
On s’écorche et s’aime,
en un froissement d’ailes…
C’est le lien qu’on tend,
comme un rayon d’or…
C’est le lien qu’on tord,
jusqu’à bout de force …
Quitte moi doucement,
Ne m’blesse pas dans l’heure,
Pars , j’en meurs
Que j’n’entende … pas
Les souv’nirs me pincent,
défilent comme un film…
chacun d’eux m’arrachent,
et le fil se casse…
C’est souvent l’sublime,
celui qui abîme…
Je n’préfère rien,
Que des bouts d’un peu…
C’est le lien qu’on serre,
mais qui s’effiloche…
c’est le lien qui cède
puisqu’ ’à bout de force …
Quitte moi doucement,
Ne m’blesse pas dans l’heure,
Pars , j’en meurs !
Que j’n’entende … pas !!!
Quitte moi doucement,
Ne m’blesse pas dans l’heure,
Pars , j’en meurs !
Que j’n’entende … pas !!!
Je regarde le ciel
Sans que je comprenne,
pourquoi je reste là…
Il est temps qu’j’m’envole !
C’est le lien qui cède
puisqu’ ’à bout de force
Demain peut-être peut-être pas,
un nouveau fil se tissera…
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