C'est toujours toi qui vas chercher les chaudières dans l'étable
Tu les déposes à mes pieds dès que je pleure d'être avec toi
Tu avales la boule de foin et tu fermes les yeux
Pour ne pas pouvoir lire sur mes lèvres
Tu ne comprends pas ma nouvelle langue
Quand je disparais dans la maison le cœur en hydravion
Tu dois balayer et t'expliquer encore à la visite
Tu débarrasses la table et ranges le dessert enfin les poings
Pour ne pas faire de trous dans les murs
Ça laisserait entrer les oiseaux
Mais tes larmes ne coulent jamais sur tes joues gyrophares
Elles semblent plutôt tourner au rouge pompier
Quand je me fais feu de forêt
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