Pas la peine que l'on soit éloigné
Que nos corps ne soient plus emmêlés
Je préfère de mon vivant te dire
Combien je t'ai aimé
Pas besoin d'avoir bu la ciguë
Sur le cuir d'une banquette ambiguë
Je préfère dès maintenant te dire
Combien tu m'as ému
Car peu après c'est déjà trop tard
Comme de l'à peu près
Le coeur a horreur du retard
La vie dérive, défile et passe
Tandis qu'on tire des plans sensass
Sur la comète
Pas la peine d'avoir à m'expliquer
Sur des torts ou des torts supposés
Je préfère dès maintenant te dire
Combien je t'ai aimé
Pas besoin de mettre intoxiquer
Pour te dire tes quatre vérités
Je préfère de mon vivant te dire
Combien je t'ai aimé
Car peu après c'est déjà trop tard
Comme de l'à peu près
Le coeur a horreur du retard
La vie dérive, défile et passe
Tandis qu'on tire des plans sensass
Sur la comète
Pas la peine que je sois à demeure
D'un mouroir, sans miroir, et sans fleurs
Et que les trains n'arrivent plus en gare
A force d'être toujours en retard
Toujours en retard
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