Je sais qu’en vrai, personne me connait, Tellement d’épines incrustées dans le sourire
Je sais qu’en vrai, rien n’a plus d’effet, Je sais que j’m’assomme aux aurores pour les billets Bitume sous les semelles, je suis loin des sommets,
Plus besoin de sommeil, sur la flamme j’ai soufflé, je gratt’des couplets, mais faut payer le loyer,
Enfermée dans un quotidien qui m’empêche de m’évader,
J’accepte les barrières, je contiens toutes mes apnées
Docile pour la carrière, pas d’vague tu m’connais
J’me trafique un sourire pour tenir la journée
Plus d’lumière, bout du tunnel,
Quand j’m’étouffe, je m’réfugie dans ma bulle
Quand j’écris d’ma f’nêtre la vue est si belle
J’aimerais que dans cette planète ma vie bascule
Ouais les doutes c’est le pire, c’est la peur qui te guide,
C’est la foi qui te quitte, c’est ..
Ouais les doutes c’est le pire, c’est la crainte qui te guide
C’est la confiance qui te quitte, c’est
Ouais les doutes c’est le pire, la terreur de changer de vie, les prisons qu’on se met à soi- même, toujours imaginer l’pire, J’vais pas laisser d’traces, là ou pas c’est la même
Je sais qu’en vrai, personne me connait, Tellement d’épines incrustées dans le sourire
Je sais qu’en vrai, rien n’a plus d’effet, Je sais que j’m’assomme aux aurores pour les billets Bitume sous les semelles, je suis loin des sommets,
Plus besoin de sommeil, sur la flamme j’ai soufflé, je gratt’des couplets, mais faut payer le loyer
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