Comme si seul l'éclat des pierres
Pouvait embraser notre bonheur
Perdus dans la ville des lumières
Au cœur de la foule, on se sent seul
Si encore, tout cet argent
Pouvait seulement acheter l'amour
De nos parents, de nos amants
Ou bien de ceux qui jouaient dans la cour
On est assis sur la même terre
La même où l'on pousse le premier cri
Puis on se couche sous les mêmes pierres
Ou quelque mots résument nos vies
Quand vient le soir, qu'on ferme les portes
Que nos pensées dans le ciel se perdent
On mort dans la vie, on défie la mort
Comme des personnes ordinaires
C'est vrai, on battit nos vies
On porte nos peines
On fait tout ce qu'il faut pour se plaire
On n'est ni meilleur, ni pire
Juste ordinaire
Si les mille feux de nos parures
Pouvaient illuminer ces secondes
On serait choisis, on serait sures
On danserait sur le toit du monde
On vit pourtant ses déchirures, ses rires
Ses pleurs, ses frustrations
Ses coups de blues, ses blessures
Ses trahisons, ses passions (Oh !)
Quand le miroir nous renvoie l'image
Notre œil n'y voit que des défauts
Des larmes redessinent nos visages
Mais la joie n'en devient pas l'écho
Il suffit parfois d'une seule étreinte
D'un grand sourire, de quelque mots
D'un regard, de deux mains jointes
Et d'un souffle qui effleure la peau
Quand vient le soir, qu'on ferme les portes
Que nos pensées dans le ciel se perdent
On mort dans la vie, on défie la mort
Comme des personnes ordinaires
C'est vrai, on battit nos vies
On porte nos peines
On fait tout ce qu'il faut pour se plaire
On n'est ni meilleur, ni pire
Juste ordinaire
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