On regarde les anges avec nos darons
C'est bien qu'y a truc qui tourne pas rond
Mais nique sa mère je veux dans le mois ce que tu gagnes par an
Que Dieu bénisse la concu
Je les écoute et ça calme mes doutes
Moi j'veux un chauffeur qui porte tes courses
Parce qu'on en a chié depuis le B12
Tu peux donner des pièces à chaque coin de rue et rester quand même un fils de pute
Le goût de la victoire dure le temps de la chute
J'ai appris à savourer mes luttes
T'es pas sûr d'encaisser le chèque même si tu gagnes sur les poteaux
Santa Claus n'est qu'un intermittent qui tape la neige entre deux photos
Joue plaquée sur béton brûlant
Les sirènes de l'ambulance
Habitués sur elle on danse
Comme devant le vendeur ambulant
À la fin de l'orage les balances sont à l'équilibre aux pieds des arcs en ciel
On va passer de la boite de thon albacore
À la boite séquentielle
Je compte plus les anciens frères qui sont devenus des ennemis
Je préfère le papier, le papier, le compter le jour, la nuit
J'peux rien y faire, je retiens personne négro c'est la vie
J'peux rien y faire, je retiens personne frérot c'est la vie
Je compte plus les anciens frères qui sont devenus des ennemis
Je préfère le papier, le papier, le compter le jour la nuit
J'peux rien y faire, je retiens personne frérot c'est la vie
J'peux rien y faire, je retiens personne frérot c'est la vie
Les soirs de gamberge j'essaie de comprendre tout le monde même les gays racistes
Personne peut gagner une guerre assis
On sait pas se tenir quand le cœur insiste
Je bois la tasse quand mon côté humain surnage dans mes pulsions
Comme traverser un vestiaire féminin en gardant ses ablutions
C'est la faim qui nous a mis là
Je fais le pain, je quitte le village
Suffit parfois d'une seule kichta
Pour enfin voir leurs vrais visages
Elle veut le destin de Nabila
Les bijoux, les ppes-sa, les keus à 300k
Ramasse ton tanga, tes tong et puis basta qu'est-ce tu crois
Le Viano partira bien sans toi
Je sais qui nous aime pas
Je sais qu'ils veulent nous faire
Mais je garde mon sang-froid
J'écarte les salopes
Qui font tout pour me plaire
Qui sont pas là quand je serre
Et que le pilon détend pas
Que la vie mets des tampons
Je compte plus les anciens frères qui sont devenus des ennemis
Je préfère le papier, le papier, le compter le jour la nuit
J'peux rien y faire, je retiens personne négro c'est la vie
J'peux rien y faire, je retiens personne frérot c'est la vie
Je compte plus les anciens frères qui sont devenus des ennemis
Je préfère le papier, le papier, le compter le jour la nuit
J'peux rien y faire, je retiens personne frérot c'est la vie
J'peux rien y faire, je retiens personne frérot c'est la vie
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