Sur les Blessures de l’Institut
Petrus BOREL

Poème Sur les Blessures de l’Institut

Il est donc vrai, Français ! ô Paris ! quel scandale !
Quoi ! déjà subir un affront ;
Laisseras-tu voiler, par une main vandale,
Les cicatrices de ton front ?
Juillet, il est donc vrai qu’on en veut à tes fastes,
Au sang épanché de ton coeur ?
Badigeonneurs maudits ! nouveaux iconoclastes !
Respect au stygmate vainqueur !
Septembre 1830