A quoi comment vis-tu penses-tu, mais à qui?
Je vis ne pense pas, je dis je pense la mer et le ciel.
Ainsi les canards du Dimanche, et mon stylo
Ailé est comme le canard sauvage a ras de vague.
Je vis la vague vis le bleu, et la blondeur du sable blanc
Et la rougeur rose du cap de Nase comme le nez du cousin portugais
Tout gravelé de blockhaus désuets.
Foin des pirouettes des maubèches sophistiquées
Je hume la mer d'iode, et de sel de laitance
Au crépuscule, la nouba du soleil sous tente flamboyante
Et dans la nuit, la douceur du rire parmi les palmes.
Or à qui pas à quoi, je te pense te vis vivante.