Qu’importe si la nuit m’emportera le souffle
sur les chemins de l’âme, je rêverai, serein
Par les chants, tu seras le veilleur de mes gouffres
enjambés par l’élan du soleil enfantin
ô délicieux secrêt
Mélange insoupçonné de mes sondes idillyques
en éternels étés, je volerai austère
habité de la force et par celle des choses
que le monde hypocrite donne à ses congénères
ô tendresse ennemie…