votre mystère est double tant vos yeux vont de pair
avec vos élans insidieux, incendiaires
vos ombres se promènent sous chacun de mes pas
et votre étoile brille au delà des tracas
Quand l’orage est passé, vos silences qui me hantent
m’empressent de chasser votre cible émouvante
cachée sous les secrêts de vos sables d’automne
Vénus est à l’été ce que l’or est à l’homme
Que ce bonheur suprême à la démarche lente
sous votre ciel blessé fasse que l’on pardonne