Personne peut braquer mon cœur
J'agis comme si j'avais zéro message rempli d'amour sur mon répondeur
J'agis comme si c'était mon heure
Mes sentiments crient la famine, on a grandi dans des familles
Où faut se cacher loin des autres si on pleure
Parce que y a qu'les faibles qui ont peur
Y a que les faibles qui sont morts, les gens sensés se font du mal
Les gens fous en redemandent encore et ils y repensent vers deux heures du mat'
Et chez moi vers deux heures du mat', on entend les sirènes de pompiers, les sirènes de polices, les sirènes d'ambulances
C'est nous les tsunamis, c'est nous les incendies, c'est nous l'origine des turbulences
Réponds-moi j't'en su', réponds-moi j't'en su', réponds-moi j't'en supplie
Tous les jours t'es dans l'noir, t'arrives pas à voir qu'dehors c'est sublime
J'ai peur de t'voir dans des sales histoires où une balle déchire tes sapes
J'vois qu't'envoies un message Toam, dis-moi pourquoi tu supprimes
Réponds-moi j't'en su', réponds-moi j't'en su', réponds-moi j't'en supplie
Tous les jours t'es dans l'noir, t'arrives pas à voir qu'dehors c'est sublime
J'ai peur de t'voir dans des sales histoires où une balle déchire tes sapes
J'vois qu't'envoies un message, Toam, dis-moi pourquoi tu supprimes
Dis-moi pourquoi tu supprimes, réponds-moi, j't'en supplie
Dis-moi pourquoi tu supprimes, dis-moi pourquoi tu supprimes
J'vois qu't'envoies un message, Toam, dis-moi pourquoi tu supprimes
Réponds-moi, j't'en supplie
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