Je suis né sans les dents, je ne suis pas né sans dale ( sans dale )
Y’a trop de fils de pute j’appelle au scandale ( scandale )
La vie c’est plein d’épreuves, faut garder le mental
Arrête de me sourire, serrer la main, poto t’es bancal ( bancal )
J’aime trop quand je fais du Biff c’est sûr que ça me plaît ouais
J’ai trop de fierté, j’ai pas que ça à faire que de t’appeler ( t’appeler )
Rien qu’ils font les mecs plein, ils ont pas de mape
Et si il cherche la merde au bout d’un moment poto tapes les
Ouais j’aime bien faire du sale pourtant j’aime pas la hagra
Si je fais de la muscu c’est pour pas finir ingrat
Ma ville est un re-fou, pour ça que tout le monde est mé-cra
Fais pas de câlins, caresses, quand j’ai fini de cher-cra
Je m’en bat les couilles de toi, de ton amour
À cause de vous j’ai vu mon cœur écorché vif, finir dans un sale état
Tu sais qu’en bas des tours j’ai vu des potes qui font les putes
Te laisser seul quand y a hassa, courir quand ça t’as pé-ta
On connaît tous la loi du barillo
Chacun sa voie, ??? comme ???
Le paradis est loin, paraît si haut
Je rêvais de gamos dans ma Clio
La rue ça rigole pas, fais pas l’idiot
Plus de bagarre que ça sort les métaux
Les métaux, les métaux
Mais j’en parle pas trop de ce que j’ai dans mon cœur
Bah ouais les filles tous les hommes sont des menteurs
Et j’en parle pas trop, j’ai commis trop d’erreur,
Le nombre de fois où j’ai mis ma mère en pleurs,
Je deviens parano, même l’amitié m’écœure
Trop de faux frère et trop lourde est ma rancœur,
Je les appelle, allô ( allô )
Et je marche seul à l’aube ( l’aube, l’aube )
On aura beau penser et critiquer les autres ( et critiquer les autres )
Je ne sucerais jamais ceux qui ont la côte
Ils auront beau penser, je serai jamais des vôtres ( des vôtres )
Je ferai partie des gens qui font des fautes, je sais c’est insensé
Tous ces bâtards se vautrent ( se vautrent )
Sur le buzz et ce que possèdent les autres,
Je suis pas influencé, j’ai la tête haute ( la tête haute )
Si tu merde va te faire enculer, tu saute
On connaît, on connaît tous la loi du barillo
Chacun sa voie, ??? comme ???
Le paradis est loin, paraît si haut
Je rêvais de gamos dans ma Clio
La rue ça rigole pas, fais pas l’idiot
Plus de bagarre que ça sort les métaux
Les métaux, que des mythos
Mais j’en parle pas trop de ce que j’ai dans mon cœur
Bah ouais les filles tous les hommes sont des menteurs
Et j’en parle pas trop, j’ai commis trop d’erreur,
Le nombre de fois où j’ai mis ma mère en pleurs,
Je deviens parano, même l’amitié m’écœure
Trop de faux frère et trop lourde est ma rancœur,
Je les appelle, allô ( allô )
Et je marche seul à l’aube ( à l’aube )
Et j’en parle pas trop
Je t’appelle à l’aube
J’deviens parano, j’deviens parano
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