A Poem on the Underground Wall
Simon and Garfunkel
paroles Simon and Garfunkel A Poem on the Underground Wall

Simon and Garfunkel - A Poem on the Underground Wall Lyrics & Traduction

La traduction de A Poem on the Underground Wall de Simon and Garfunkel est disponible en bas de page juste après les paroles originales

The last train is nearly due,
The underground is closing soon,
And in the dark deserted station,
Restless in anticipation,
A man waits in the shadows.

His restless eyes leap and scratch,
At all that they can touch or catch,
And hidden deep within his pocket,
Safe within its silent socket,
He holds a colored crayon.

Now from the tunnel's stony womb,
The carriage rides to meet the groom,
And opens wide and welcome doors,
But he hesitates, then withdraws
Deeper in the shadows.

And the train is gone suddenly
On wheels clicking silently
Like a gently tapping litany,
And he holds his crayon rosary
Tighter in his hand.

Now from his pocket quick he flashes,
The crayon on the wall he slashes,
Deep upon the advertising,
A single worded poem comprised
Of four letters.

And his heart is laughing, screaming, pounding
The poem across the tracks rebounding
Shadowed by the exit light
His legs take their ascending flight
To seek the breast of darkness and be suckled by the night.





Traduction A Poem on the Underground Wall - Simon and Garfunkel

Le dernier métro doit arriver d'un instant à l'autre
Les stations vont bientôt fermer
Et dans la station sombre et désertée
Agité à l'idée de ce qu'il va faire
Un homme attend dans l'ombre

Ses yeux toujours en mouvement, jettent des regards furtifs et font l'inventaire
De tout ce qu'ils peuvent atteindre (toucher ou attraper)
Et caché au fond de sa poche
A l'abri dans sa pochette silencieuse
Il détient une craie de couleur

Maintenant, venu des entrailles de pierre du tunnel
Les wagons roulent à la rencontre du marié (le taggeur)
Ils s'ouvrent grand, les portes sont accueillantes
Mais il hésite, et se retire
Plus profondément dans l'ombre

Et soudain, le train est parti
Sur ses roues cliquetant silencieusement
Comme une litanie tapée gentiment
Et il tient sa craie comme un chapelet (sa craie qui est pour lui un chapelet)
Plus fermement dans sa main

Maintenant en un éclair il sort de sa poche
La craie et en frappe le mur comme d'un poignard
En profondeur sur l'affiche publicitaire
Un poème d'un seul mot composé
De quatre lettres

Et son coeur rit, crie, bat
Le poème résonne à travers les voies
Dans l'ombre du panneau de sortie lumineux
Ses jambes prennent leur envol
Pour chercher le coeur de l'obscurité et être aspiré par la nuit


Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)