Là-haut…
Où la terre touche le ciel, où plus rien n’est artificiel !
Oui là-haut où tout paraît plus beau !
Montagnes Pyrénées, vous êtes mes amours, mon paradis sur Terre, je vous aimerai toujours !
Montagnes fortunées c’est dans vos vallées de velours, que je rêve de passer, mes nuits comme mes jours.
Montagnes hospitalières les racines dont je suis fier, quoi de plus beau sur Terre que vos forêts et vos rivières ?
Montagnes éphémères non votre cœur n’est pas de pierre, je vous serai fidèle jusqu’au jour de ma mise en bière !
Là-haut…
Où la terre touche le ciel, où plus rien n’est artificiel !
Oui là-haut où tout paraît plus beau !
Je sais dans la montagne, un refuge perdu, j’y repose mon âme, trop souvent déçu...
Par le monde d’en bas, de la ville et de ses tracas, où vivent tout plein de gens qui ne comprendront pas cette chanson là !
Oui par le monde d’en bas, de la ville et de ses blablas, où vivent tout plein de gens qui ne comprendront pas cette chanson là !
Là-haut…
Où la terre touche le ciel, où plus rien n’est artificiel !
Oui là-haut où tout paraît plus beau !
Alors je prends de la hauteur, je sens enfin battre mon cœur, doucement mais sûrement je laisse monter la chaleur...
Je laisse le pire, je prends le meilleur, ici j'oublie mes peines, j'oublie mes peurs !
Man quand tu broies du noir, viens faire un tour au pays des isards !
Man quand tu broies du noir viens faire un tour au pays de l’espoir !
Là-haut…
Où la terre touche le ciel, où plus rien n’est artificiel !
Oui là-haut où tout paraît plus beau !
Si canti yo que canti, canti pas pé yo, canti pé ma miyo quey auprés pé yo
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