Rotterdames – « Oiseau De Nuit »
Auteur : Antoine BOISSEAU-DECOUX
Dans ces fumées épaisses le monde s’offre à toi,
Toutes ces nuits célestes, ces ambitions perdues,
Il faut que l’on se cherche, attendez-moi,
Pas la peine de courir, le train ne viendra plus
J’ai trop croisé ces gens, ces somnabules,
Paris dissonant fut sous les flammes de leurs erreurs,
Dans tes yeux je l’oublie cette blessure,
Tu entends le glas : il est déjà l’heure
Et cet instant restera à jamais
L’ombre de l’orage qui ment
Nombre de mes rages tu sais,
Dans cette ville on se perdra dehors,
Joue contre joue tu souris,
Tu me pries de t’aimer encore
Et je ne peux que te décevoir,
Tu en apprendras sur mon histoire,
L’oiseau de nuit qui t’inspirait
Sans bruit s’est en allé
J’ai trop de fois joué les Casanova,
Mon dieu que tu meurs de froid,
Et moi je m’en moque de toi,
Je n’m’attendais pas, trop souvent je m’éloignais
De ta bouche glacée, c’est tout c’qu’il me restait
Et cet instant restera à jamais
L’ombre de l’orage qui ment
Nombre de mes rages tu sais,
Dans cette ville on se perdra dehors,
Joue contre joue tu souris,
Tu me pries de t’aimer encore
Et quand on reviendra d’ici,
Tu auras compris (x2)
La nuit je vole et je vis,
Que restera t-il ? Je resterai libre
Et cet instant restera à jamais
L’ombre de l’orage qui ment
Nombre de mes rages tu sais,
Dans cette ville on se perdra dehors,
Joue contre joue tu souris,
Tu me pries de t’aimer encore
Et je ne peux que te décevoir,
Tu en apprendras sur mon histoire,
L’oiseau de nuit qui t’inspirait
Sans bruit s’est en allé
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