C'est tous les jours écrire
Pour deviner sa peau
C'est tous les jours écrire
Pour épeler ses lèvres
La forme de son nombril
Qui ne concerne qu'elle
Et ne concerne qu’elle
Et m'éloigner de la poussière
Qui s'abat sur la ville
C'est tous les jours me dire
Que ce n'est pas assez
D'imaginer ses lèvres
Coincées entre mes dents
Mais puis qu’ici rêver, rêver c'est rouler
C'est tous les jours m'enfuir
Et puis réinventer
Les lettres à venir
Qui ne concernent qu'elle
Et ne concernent qu'elle
Et m'éloigner de la chaleur
Qui s'abat sur la ville
Alors fendre la foule
Et puis quitter la ville
Les immeuble s'écroulent
Et les palmiers s’embrasent
La foule est médusée
La chaleur du Mojav
Et la poussière s'enroule
Au désert qui s’avance
Et ne concerne qu'elle
Et ne concerne qu'elle
Gagner la plage
Apprendre à nager
Et la mer dans touts ça
Que peut elle bailler ?
Quand tous les jours écrire
Est devenu inné, est devenu inné
Est devenu inné
C'est tous les jours m'enfuir
C'est tous les jours me dire
C'est tous les jours écrire
Et la mer dans tout ça
L'avancée du désert
Que pourrait-elle y faire ?
Que pourrait-elle y faire ?
Que pourrait-elle y faire ?
Que pourrait-elle y faire ?
Demande à la poussière !
Demande à la poussière !
Demande.... à la poussière.
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