Quand une ombre se glisse entre les charrues, les chevaux s’affolent.
Alors il nous en faut dix parmi les plus charnus pour tenir les carrioles.
Je me lève et je pisse à la gueule de la rue, celle qui t’a rendue folle.
Mon dieu, comme c’est étrange de rêver de charrues quand on a connu que des bagnoles.
Mais le rêve est coriace, une fois les yeux fermés, je m’abandonne.
La récolte est mauvaise, on a les yeux serrés comme des rigoles.
La pluie se fait attendre, le bétail va crever, vendons la ferme et partons en été.
Le matin m’abandonne, l’aube me pique les yeux, je ne veux pas me réveiller.
Quand la lune me capture, je vis sous son ombre.
Quand la lune me capture, je vis sous son ombre.
Et sa sentence est si belle que je ne me lasse jamais de la regarder.
Et sa sentence est si belle que je ne me lasse jamais de la regarder.
Alors debout, les chevaux s’affolent.
Alors debout, les chevaux s’affolent.
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