Ungirthed
Purity Ring
paroles Purity Ring Ungirthed

Purity Ring - Ungirthed Lyrics & Traduction

La traduction de Ungirthed de Purity Ring est disponible en bas de page juste après les paroles originales

The scent of my hands is familiar
To fosterly men in their coats
Who guard not their spirits from fire
Fire, fire, fire, fire
Who speak with some tenderly coax

The tinge of my eyes is familiar
To fosterly men in their coats
Who fiend close, close, close
To their closely homes
And ruminate the walls up with ghosts

Ears ringing, teeth clicking
Ears ringing, teeth clicking
Ears ears ears ringing, teeth clicking
Ears ringing, teeth clicking (x3)
Ears ears ringing

The air is familiar the sound is not still
Dead voices cover their moats
They fill the cloth totes with
The rustles of earth
And the crying, detritioning bones

The dust off my knuckles familiar
To culminated piles, to culminated piles of bones
That shift when the earth quakes
And trembles, trembles
And quarries men up to their,
And quarries men up to their thrones

The scent of my skin is familiar
To fosterly men in their coats
Who guard not their spirits from fire
Fire, fire, fire, fire
Who speak with some tenderly coax

The air is familiar the sound is not still
Dead voices cover their moats
They fill the cloth totes with
The rustles of earth
And ladies that they have ungirthed

Ears ringing, teeth clicking (x4)
Ears ears ring




Traduction Ungirthed - Purity Ring

Le parfum de mes mains est familier
Aux hommes accueillants dans leurs manteaux
Qui ne préservent pas leur esprits du feu
Feu, feu, feu, feu
Qui parlent avec une certaine tendresse encourageante

La teinte de mes yeux est familière
Aux hommes accueillants dans leurs manteaux
Qui se rapprochent, rapprochent, rapprochent
D'assez près de leur maison
Et remâchent les murs de fantômes

Oreilles bourdonnant, dents cliquetant
Oreilles bourdonnant, dents cliquetant
Oreilles oreilles oreilles bourdonnant, dents cliquetant
Oreilles bourdonnant, dents cliquetant
Oreilles oreilles bourdonnant

L'air est familier, le son ne l'est pas encore
Des voix éteintes couvrent leurs douves
Ils remplissent les sacs en tissu avec
Les murmures de la terre
Et les os dénutris et implorants

La poussière de mes phalanges familière
Pour entasser, entasser des piles d'os
Qui se déplacent quand la terre tremble
Et tremble, tremble
Et les hommes de carrières jusqu'à leurs,
Et les hommes de carrières jusqu'à leurs trônes

Le parfum de mes mains est familier
Aux hommes accueillants dans leurs manteaux
Qui ne préservent pas leur esprits du feu
Feu, feu, feu, feu
Qui parlent avec une certaine tendresse encourageante

L'air est familier, le son ne l'est pas encore
Des voix éteintes couvrent leurs douves
Ils remplissent les sacs en tissu avec
Les murmures de la terre
Et de filles qu'ils ont dessanglées

Oreilles bourdonnant, dents cliquetant
Oreilles oreilles bourdonnant


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