Comment s’ambiancer sans beyoncé? En priant? c’est ennuyant mais
En niant tout ce qu’est plus plus grand tu te prend un putain d’pied au nez
Au moins tu t’élèves, au lieu de dire butez les
Pardon j’ai pas lu tes lettres, pardon j’ai pas su t’aimer
Parait qu’j’ai pas lutter maitre, pareil pour insulter mes
Paresses qui ensuite émergent, quand t’es fort sans vu des mets
J’regarde Bercy avec des yeux concupiscents
Pas besoin d’forcer mon flow je noie la concu’ en pissant
J’ai des crises d’estomac quand je vois James tomar
Je lèche de la blanche mais j’suis pas pablo escobar
J’suis Gotaga lors de la GT4, c’est moi Irma j’ai tes cartes
C’est moi Irma j’ai tes cartes, c’est moi Irma j’ai tes cartes
Une fois j’ai baisé une meuf c’était ni trop mauvais ni trop bien
J’ai lâché dans ses seufs un truc homogène microbien
Après j’me suis cassé, je sais qu’le manque la tuera
Mais j’veux jamais m’caser avec la nomemklatura
Surtout quand Lucifer défile, arrête de ratiociner
C’est facile de se faire des films, pour finir assis au ciné
Décidément ça sent l’gaz, mais je vais pas dévier
Même si mes semblables, sont nazes j’vais quand même les défier
Au fond de la classe car au fond je suis pas si méchant
Quand je regarde un atlas j’ai l’impression de rater mes chances
Le bif est alléchant mais il y a du blé que dans les champs
Si t’es une femme de chambre tu bois jamais coupe de champ’
Quand je vais chez le coiffeur j’demande la coupe et le shampooing
C’est le seul moment où quelqu’un peut me laver la tête
Au gardien je sais pas quoi faire, pendant le foot je suis en pointe
C’est moi qui tire la balle qu’elle soit dans le but ou dans la tête
À l’époque du post-tout comment on gér’ra l’après science
C’est ptete qu’une impression, c’est des charlatans la prescience
Moi j’ai la prestance, renie l’obédience
Fuck le présent j’s’rai heureux quand j’aurai l’audience
Je veux pas l’audi a5 ni les radios
Mais compter les liasses et dire adios
Tu veux faire parti de mon mécénat, mais c’est non
La messe est basse au Sénat, mais l’histoire omets ces noms
Partout j’vois les coloris, j’te bouffe si tu m’autorises
Sofiane m’appelle je rentre dans l’cercle, j’suis rappeur pas Sumotori
J’suis un arbre et t’es brocoli, j’suis Tupac toi t’es Bregoli
T’es pichon, moi j’suis au Koli, t’es pigeon mais t’es sans colis
C’est moi qu’impose les règles, j’te fais un prix ménopause
Pas besoin d’photographe, on va imprimer nos poses, nous même
Aller cause toujours, aller viens j’t’emmène
Aller cause toujours, aller viens j’t’emmène
Nique tous ceux qui disent que la science nie la religion
Mais quitte à pas savoir où je vais je préfère être dans un champ quantique
Fuck l’époque antique, le moderne c’est la légion
Si je te rap mes envies de monnaie, ça deviendra des chants cantiques
Mais on reste des gens sains, j’suis amoureux de mes enceintes
Un whisky? Oh oui s’il te plait, mais j’ai des plaies donc mets en cinq
Dégoûté comme quand je vois que des petites sont mises enceintes
Un violeur prend 2 ans, les bicraveurs en prennent 25
S’il franchit la ligne c’est qu’il veut brandir haut ses zins
C’est simple t’es hors d’atteinte dans bâtiment diocésain
On doit être en enfer, regarde toutes les conneries débitées
Les têtes de bites évitez, d’trop en faire ça m’rend dépité
Ce sont des billevesées, t’es trop débile c’est grave
Ta tête est absolument vide comme quand un playmobile s’écrase
Bah ouais, les gens s’émancipent seulement en aimant s’tap
Je suis pas une balance j’serai jamais vraiment stable
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