Tu n'as pas l'avantage de savoir être sage,
Quand l'adage de ton âge, c’est admettre sans ombrage,
Que l’image le paraître, prennent la rage en otage,
Te ravagent sans hommage, c'est dommage... ces dommages...
Assume, assume, tes surfaces agrumes, si communes,
Dépasse, Dépasse les griffures les traces, du temps qui lui s’efface, Hélas.
Laisse ton cœur, ton séant, serré ou imposant,
Te guider sans complexe, ni te rendre à confesse,
Conserver en mémoire ton histoire tes déboires
Pour ne pas reproduire ce qui a pu te nuire,
Caresse, caresse, ces idées de faiblesses,
Qui t'oppressent, afin qu’elles disparaissent,
Ignore-les, ignore, tous ces sombres butors
Envoie-les se faire mettre, à mal
Allume-les, allume, ce feu qui les consument, sans rancune, qu'ils baissent de volume,
Révèle-toi, révèle à quel point tu es belle au naturel.
Renvoie-les se faire battre, rebelle.
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