La traduction de St. Ides de Macklemore and Ryan Lewis est disponible en bas de page juste après les paroles originales
I think happiness went thataway
Sometimes you just have to wait
I never believed in God
But things got so fucked up
That I had to pray
Used to steal my Daddy's Cabernet
Never thought that it would turn into a rattlesnake
Thinking, everything will be all right
If we could get through the week
Maybe see another Saturday
Rolling round, we know where to go
Argue with the homies over who's gonna roll
Bumping Goodie Mob, have some food for the soul
Till it's two in the morn'
When rain hits the windshield
And everything is still
Nothing really is a big deal
One hand on the steering Wheel
And we gon' be all right
I had a brown paper bag
St. Ides in that motherfucker
Around the city we smash
5-0 coming, then you know I'm running
Crawl into broken fences, when shit gets hard
You know who your friend is
And when I lose perspective
Need to go to a place where I lose reception
Looking at the satellites pass by
Reflecting on my past life
I can barely remember last night
Another morning, swearing it's the last time
Where would I be ?
We can't start over, you don't get a new ID
I know the devil fancy me
But that don't mean the motherfucker get to dance with me
I bought a house, second guessing what I own now (What?)
Traffic moving kinda slow now (What?)
I watch the population grow wild (What?)
A bunch of people I don't know now (What?)
My city's changed and my zoned out
I thought about New York, maybe SoCal
Put up condos people can't afford now
Landmarks bulldozed, been tore down
Overpopulated but can seem like a ghost town
Keep a couple real ones with me when it goes down
Lack of diversity, I think about Sloane now
Only reason I would ever leave my hometown
If I still drink, I would crack a 40 ounce
Parents finally left, moved away, and they sold the house
It's really hard to ignore it now
Wish that we could sort it out
Last couple sips, pour it out
St. Ides
Traduction St. Ides - Macklemore and Ryan Lewis
Je crois que le bonheur s’en est allé.
Quelques fois, tu dois juste l’attendre un peu.
Je n’ai jamais cru en Dieu,
mais les choses se sont tellement dégradées
que j’ai dû me mettre à prier.
J’avais pour habitude de voler le Cabernet de mon père.
Je n’ai jamais pensé que ça deviendrait un cercle vicieux.
Je me disais : “Tout ira bien,
et si on surmonte la semaine,
on devrait arriver au prochain samedi”.
On roule, on sait où aller.
On se dispute entre potes pour savoir qui va conduire.
Avec Goodie Mob en musique de fond, on a de quoi nourrir nos âmes. º
Jusqu’à deux heures du matin,
quand la pluie frappe le pare-brise
et que tout est calme,
Rien n’est vraiment important.
Une main sur le volant
et tout ira bien pour nous.
J’avais un sac en papier marron
avec du St-Ides à l’intérieur.
En ville, on fait un tabac.
Les flics arrivent alors tu sais que je me mets à courir.
Je rampe entre les barrières cassées, quand c’est vraiment la merde.
Tu sais qui est ton véritable ami.
Et quand je perds mes perspectives,
j’ai besoin d’aller dans un endroit où je ne capte plus rien.
Je regarde les satellites passer,
reflétant ma vie passée.
J’arrive à peine à me souvenir de la nuit dernière.
Un nouvelle matinée où je jure que c’était la dernière fois.
Où pourrais-je bien être ?
On ne peut pas tout recommencer, personne ne te donnera une nouvelle identité.
Je crois que le diable me plaît
mais ça ne veut pas dire qu'il m'entraînera dans ses filets.
J’ai acheté une maison, je spécule sur ce que je possède à présent. (Quoi?)
Le trafic est lent à présent. (Quoi?)
Je regarde la population devenir sauvage. (Quoi?)
Un groupe de personnes que je ne reconnais plus à présent. (Quoi?)
Ma ville a changé et mon quartier n'existe plus.
Je pensais à New York, ou même à la Californie du Sud.
J’habitais des immeubles que les gens ne peuvent pas se payer maintenant.
Les points de repère passés au bulldozer, ils ont été abattus.
C’est surpeuplé mais on dirait une ville fantôme.
Je garde proches de moi quelques vrais amis quand tout s’effondre.
Manque de diversité, je pense à Sloane maintenant.
C'est la seule raison pour laquelle je pourrais quitter ma ville natale.
Si je continuais à boire, je m’enfilerais plus d'une bouteille d'un litre.
Mes parents sont finalement partis ; ils ont déménagé et ont vendu la maison.
À présent, c’est vraiment dur de renier tout ça.
J’aurais aimé pouvoir faire le tri.
Ce seront les deux dernières gorgées, ressers-moi.
St-Ides...
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