J’en parle en cachette
Il y a des mots qui s’adressent à toi
Une fois passée l’ivresse
Je me rends compte que ça cesse en moi
J’ai jamais vu de psy
Parce que tout roule toujours
Parce que tout brille par ici
Jamais vu les signes
Donnez-moi quelqu’un pour lire
Pour dire ce qu’il se passe ici
Une rencontre plus belle que le Spleen
Qu’un Paris-Bordeaux que ma ville
Mais les mois passés je retourne au Spleen
Dis-moi
Pourquoi
J’ai pas
De souffle pour nous (nous)
J’ai même mis le son sur pause
Pour vivre ce qui me cause
Du tort
Pourquoi même ceux qui s’attirent
Finir tous par ressentir l’effort?
J’ai pas vu le truc venir
Maintenant je crois qu’il y a moins de désir
En moi
Crois-moi si je pouvais choisir
Je ranimerais ma soif de ne séduire
Que toi
Toi toi toi
Toi toi toi
Une rencontre plus belle que le Spleen
Qu’un Paris-Bordeaux que ma ville
Mais les mois passés je retourne au Spleen
Dis-moi
Pourquoi
J’ai plus
D’émoi
Dis moi
Aide-moi ha ha ha
Une rencontre plus belle que le Spleen
Qu’un Paris-Bordeaux que ma ville
Mais les mois passés je retourne au Spleen
Dis-moi
Pourquoi
J’ai plus
D’émoi
Aide-moi ha ha ha, ha ha ha
Il y a toujours la tendresse,
Même si tout s'affaisse en moi
On peut faire comme si c’était naissant,
Comme si il n’y avait pas le mois de décembre et le froid
Et baby si t’acceptes, oh baby si t’acquiesses on partira
Là où l'été la chaleur du début nos humeurs de débiles sont moins graves
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