Nos deux âmes tournées vers les cieux
Le temps se glace avec la chaleur de tes yeux
Comme une faille temporelle, une vague dévorante
Qui nous emportera vers le ciel un soir délirant
Un soir délirant où les corps se mêlent et s'entrechoquent
Pourrais-je mourir par ta faute
Et mourrais-tu par la mienne ( par la mienne, par la mienne )
Ou simplement par celle des autres
Simplement par celle des autres
Je savais pas que c’était si fort moi
Tu sèches tes larmes, y’a les miennes dans tes mains moites
Tu comprendrais si mon cœur en témoignait
Je t’aurais tout dit si ma voix avait gagné
Ouais je t’aurais tout dit si ma voix avait gagné
Je t’en fais la promesse, la même que je t’ai faite à l’époque où je te disais que je serai toujours là si la vie nous détruit
T’es comme la substance que j’effrites
Je respire ton corps et j’en déduis que j’ai besoin de toi
J’ai besoin de toi si je veux pouvoir m’endormir sans penser au reste
Sans penser à tout ce qu’il y a autour
Sans penser à écrire des textes
Sans penser à salir mes veines
Sans penser à salir mes veines
Parce que la drogue nous aide à mieux planer
Je sais qu’on est d’accord quand il s’agit de s’en aller
Juste quelques heures, quelques minutes affalé
Dans un autre monde, loin des frayeurs de la vallée
J’ai toujours préféré la chaleur des galets
Pourquoi y a que nous deux dans l’univers
Quand j’ouvre les yeux vers le monde
Au-dessus des nuages le tonnerre me gronde
Quand je sens plus ta chaleur l’hiver retombe ( l’hiver retombe, l’hiver retombe )
En quelques secondes aux commandes du radeau
Je voudrais qu’on s’aime comme quand on était ados
Je voudrais qu’on garde tout ce qu’on a bâtit à deux
Et pas qu’on se mette ce qu’on a réussi à dos
C’est important de vouloir réussir à deux ( à deux, à deux )
Les esprits nous guette d’un air malheureux
Ils se disent qu’ils ont oublié de vivre
C’est vrai qu’il n’y a pas beaucoup de choix entre aimer un être ou être ivre
Aimer un être ou être ivre
Et je donnerais mon cœur pour permettre aux tiens de battre encore et encore, encore et encore
Si ta présence se fait rare, je serais comme au point de départ
Comme au point de départ
Là où on meurt pour mieux renaître
Là où on pleure sans même connaître
L’essence principale d’une vie
On est le seul type d’animal qui
Peut ressentir des émotions mais qui les fuis
Mets-nous deux on chasse le naturel ( le naturel, le naturel )
Comme si on défiait la gravité ( la gravité )
Ce soir on vole comme dans mes rêves
Donc je fermerai les yeux si je n’ai plus d’ailes ( plus d’ailes, plus d’ailes )
Comme au point de départ
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