Un grand lutrin où je lisais la Bible particulière de ces temps révélés avec des caractères gutturaux et une encre sympathique dans la voix
C'est terrible la volupté, ça vous a de ces yeux, ça vous a de ses lèvres, et puis de ces façons
Je te volupte
Comment ? Attends, ferme les yeux
Je parle aux voluptaires
Les autres, tournez le bouton, fermez votre boîte
Je parle de ce chagrin particulier qui se remarque
Quand on sait remarquer sur l'écorce des arbres, sur la buée, la nuit, en route
Quand ton pare-brise a des larmes qui lui montent, qui lui montent, dans les yeux des infidèles et des irréductibles qui voudrait bien t'être et se réduire à toi si tu savais les volupter
Je te miracle alors et t'emmène loin dans les arrière-boutiques des saisons mortes et de l'enfer à portée de main, t'emmène loin dans les arrière-boutiques des saisons mortes et de l'enfer pour qui sait fendre l'air de son poing, de sa voix, de son sexe
De sa couleur, de ses habits défaits, de sa fureur qui va bouillir comme le fait le lait de ma gosse
L'indemnité... il faudrait bien parlée de cette faveur chiffrée pour le plaisir des inconnus, de tous ceux-là qui t'attendraient bien si tu leur arrivais
L'amour, toujours l'amour, comme un chant d'oiseau triste et bien décidé à se trancher la gorge de cent mille fréquences nouvelles en cas de besoin
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