Yeah, yeah
Han, yeah
Ça fait des années, que dis-je ? Des siècles que La Fève n'a pas graille un bon repas
J'attends d'avoir des gens qui m'détestent, jaloux de ma situation confortable
Trop de paragraphes pour un portable, pour ça LaF' il devient loco
Poto, rien n'a changé sur la photo, c'est les mêmes saisons, c'est les mêmes joggos
À mes trousses, poto, ils sont quatorze, dans la jungle j'esquive les alligators
Professeurs n'avaient pas foi en moi, maintenant qu'je suis là ils n'avaient pas tord
Dans l'espace comme Albator, dans la ville avec quatre batards
J'écrivais mes textes quand maman dort, maintenant je peux faire des hits à la carte
Je suis un ne-jeu donc j'ai la dalle, montrer mon cavu c'est pas mon dél'
Si j'le fais, c'est que la roue tourne et que je me prélasse en soirée mondaine
En Ludix sur l'avenue Montaigne, poto, je bave devant les vitrines
Avant mon gars j'étais trop déter, je taguais de Montparnasse à Vitry
J'suis dans un trou pour ça qu'je veux shine, histoire de briser mes chaînes
Je m'imagine plus tard dans ma city en train de ruminer sur mes échecs
Toi et moi, poto, c'est pas pareil, mais on a des objectifs en commun
Mourir bête, mon ami, je préfère qu'on me mette tout de suite dans un coma
J'écoute Carti, j'écoute Gunna, j'cogite à l'arrière de la Laguna
J'vois pas la lumière au fond du couloir, je veux de la glace autour du cou, moi
Fais gaffe au vice, il est grave sournois, mais parfois tu peux t'dire que c'est ton frère
Dans l'ordinateur il y a du tout frais, j'peux pas te montrer sinon t'étoufferais
LAF l'affamé
LAF l'affamé
Ça fait des années, que dis-je ? Des siècles que La Fève n'a pas graille un bon repas
J'attends d'avoir des gens qui m'détestent, jaloux de ma situation confortable
Trop de paragraphes pour un portable, pour ça LaF' il devient loco
Poto, rien n'a changé sur la photo, c'est les mêmes saisons, c'est les mêmes joggos
À mes trousses potos ils sont vingt milles, dans la ville avec la grande famille
Jeune Fève, tout pour le faire, tout pour que loin de moi soit la famine
Sur la colline je regarde les cieux, belek à moi, je suis malicieux
Appelle moi LAF, l'affamé à jamais, je suis jeune et ambitieux
Oh, yeah
Oh, yeah
Oh, yeah
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