Pour toi je ne serai plus moi
Je serai l'employé du mois
Veux-tu m'épouser même si on ne s'aime pas ?
(Oh !)
Je philosophe à mon comptoir
Je prend ma peine à mon compte, toi
Tu feras de ma vie un compte noir
Promis !
Nos traces de doigts sur les vitrines
On nous a vendu l'âme à l'estime
On veut bien mourir mais pas souffrir
Le cœur est lourd et plein d'épines
On déplace des lignes pour ne pas les franchir
Normal
Il y a celui que je suis
Il y a celui que je voudrais être
Après minuit je ne change pas je vais disparaître
Là où l'horizon a tremblé
Tremblé
J'ai dansé la pluie...
Les fantômes de la fin de l'été
Ont chanté après minuit...
Manteau de verre et de poussière
On se débat on se déchaine
De la colère en fût de chêne
On se débrouille
Est-ce le spleen de la street, est-ce ?
La poésie que j'abrite, est-ce ?
Les conséquences de la tristesse
Je dérouille
Nos traces de doigts sur les vitrines
On nous a vendu l'âme à l'estime
J'essaye seulement d'être heureux
En t'attendant en attendant mieux
Le bonheur, la corde ou les deux
C'est mon heure
Il y a celui que je suis
Il y a celui que je voudrais être
Après minuit je ne change pas je vais disparaître
Là où l'horizon a tremblé
Tremblé
J'ai dansé la pluie...
Les fantômes de la fin de l'été
Ont chanté après minuit...
La nuit le désir est hostile
Hostile...
On dira que nous étions sublimes
Sublimes...
Là où l'horizon a tremblé
Tremblé
J'ai lancé la pluie...
Les fantômes de la fin de l'été
Ont chanté après minuit...
La nuit le désir est hostile
Hostile...
On dira que nous étions sublimes
Sublimes...
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