Je marche sans trop savoir telle une horloge détraquée
Je soulève les regards, j’évoque la perpétuité.
Mon esprit comme focus, un appareil photo bas d’gamme.
Je sais pas de quoi demain s’ra fait, rien d’annoté dans mon programme.
Y’a peut-être du sable qui se déverse dans ma tête.
Vérifiez bien docteur, car je voudrais que ça s’arrête, un sablier à taille humaine, ça expliquerait mon âme en peine.
J’accepterais tous les traitements.
Le temps que l’on prend, celui que l’on se laisse tant que l’on attend.
Et celui qui nous prêche pour me raisonner, je lui en veux encore.
S’il n’y avait pas ces hommes qui sonnent la mise à mort.
Si l’on perdait le fil sans se régler nos vies. Reviendrait-il quand même un jour après la nuit ?
On se contraint pour vivre, on croit que parcque l’on souffre on mérite.
Mais rien ne nous en empêche puisque cette culpabilité que l’on hérite.
Mon dieu, tu n’avais pas mieux comme cadeau de bienvenue.
J’te parle pas d’un fardeau, mais d’un gâteau bien entendu.
Profiter de l’instant, tu parles d’une philosophie.
Carpe Diem, j’connais pas, j'connais que la carpe farcie.
A chaque nouvelle respiration, ya quelque chose qui ne tourne pas rond, même quand je dors docteur, je compte les moutons.
Le temps que l’on prend, celui que l’on se laisse tant que l’on attend.
Et celui qui nous prêche pour me raisonner, je lui en veux encore.
S’il n’y avait pas ces hommes qui sonnent la mise à mort.
Si l’on perdait le fil sans se régler nos vies. Reviendrait-il quand même un jour après la nuit ?
Le temps que l’on prend, celui que l’on se laisse tant que l’on attend.
Et celui qui nous prêche pour me raisonner, je lui en veux encore.
S’il n’y avait pas ces hommes qui sonnent la mise à mort.
Si l’on perdait le fil sans se régler nos vies. Reviendrait-il quand même un jour après la nuit ?
Je m’enfuis dans mes rêves et je les fais sans. Je sais bien que j’en crève de cette vie à la montre.
Le temps qui nous prend tout qui nous dépossède, toi qui t’en obsède et qui jamais ne mens, j’ai beau me raisonner, oui je t’en veux encore.
S’il n’y avait pas ces hommes qui sonnent la mise à mort.
Si l’on perdait le fil sans se régler nos vies. Reviendrait-il quand même un jour après la nuit ?
Le temps qui nous prend tout qui nous dépossède, toi qui t’en obsède et qui jamais ne ment, j’ai beau me raisonner, oui je t’en veux encore.
S’il n’y avait pas ces hommes qui sonnent la mise à mort.
Si l’on perdait le fil sans se régler nos vies. Reviendrait-il quand même un jour après la nuit ?
Le temps qui nous prend, le temps qui nous prend, le temps qui nous prend tout.
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